martes, 30 de septiembre de 2008

La langue et le développement

On peut dire que la relation entre la langue et le développement est établie à travers de la technologie, un facteur clef du développement, parce qu'elle vient codifiée dans une langue. Le fait que les langues occidentales (surtout l’anglais) soient dominantes dans le terrain technologique, justifie-t-il l'existence de systèmes éducatifs basés dans ces langues dans des pays où elles ne sont pas la langue indigène? Je pense aux cas des pays asiatiques et africains où la solution donnée à l'existence des langues locales diverses est de rendre l’anglais ou le français la langue de leur système d'éducation bien que la plupart de la population ne parle pas ces langues à la maison. D'ailleurs, ce problème pourrait également être appliqué au cas latino-américain dans des pays où les populations indigènes n'ont pas accès à un système éducatif dans leurs langues maternelles.

Je pense que cette situation est seulement justifiée dans les premières étapes du processus du développement d'un pays, quand il est encore impossible de produire des manuels dans la langue locale. Cette capacité devrait être développée rapidement, d'abord par des traductions des textes étrangers et puis avec la publication de manuels écrits par des auteurs locaux qui seraient mieux adaptés à la réalité de chaque pays, tenant compte toujours des critères de la qualité éducative. L'étude d'autres langues ne devrait pas être négligée, naturellement. Mais il ne devrait pas être focalisé seulement autour d’un, qui dans la plupart des cas est l’anglais. Une autre langue devrait être ajoutée au programme d'études. Ça pourrait être une autre langue parlée dans le pays ou une langue étrangère parlée dans les pays avec lesquelles l’on a des liens commerciaux les plus importants. Ceci favoriserait non seulement l'intégration culturelle dans le pays ou avec les pays voisins, mais une politique comme celle-ci limiterait la dépendance technologique-culturelle vers une seule langue.

Ces réformes dans le système éducatif favoriseraient le processus du développement à travers le renforcement de la capacité technologique locale. Au début ce qui serait stimulé serait l'adaptation des technologies étrangères. Exemples simples de ceci seraient la capacité et le désir de la population (créant ainsi une demande) en général d'avoir des manuels d'équipement et de machines dans leur propre langue. La même chose pourrait également se produire avec les publications scientifiques ou même avec les romans et le matériel audiovisuel (films, programmes de TV ou sites d’Internet). Ceci produirait parmi la population une sensation d’appropriation du phénomène technologique et il stimulerait, avec d'autres politiques d’Etat naturellement, la création d'une capacité technologique indépendante, qui est un facteur principal pour accomplir la transformation industrielle qu'un pays doit empreindre afin de se développer.
Share/Save/Bookmark
(Partager ou sauver)

sábado, 27 de septiembre de 2008

Language and development

We can argue that the relation between language and development is technology, a key factor of development, because it comes codified in a language. Since western languages (mostly English) are dominant in technological matters, does this justify the existence of educative systems based in these languages in countries where they are not the native ones? I a have in mind the cases of Asian and African countries where the solution given to the existence of diverse local languages was to make English or French the language of their education system although the greater part of the population does not speak those languages at home. Moreover, this problem could also be applied to the Latin American case in those countries where indigenous populations don’t have access to an educative system in their native languages.

I think that this situation is only justified at the first stages of a country’s development process, when it’s still impossible to produce text books in the local language. This capacity should be developed soon first through translations of foreign texts and then with publications of text books of their own that would be better adapted to the reality of each country, always taking into account the criteria of educative quality. Learning other languages shouldn’t be neglected, of course. But it should not be focused only in learning one, which in most of the cases is English. Another language should be added to the curriculum. It could be another language spoken in the country or a foreign language spoken in some of the more important commercial partners of the country. This would not only promote cultural integration within the country or with neighboring countries but it would limit the technological-cultural dependency towards a single language.

These reforms in the educative system would promote the development process thanks to the strengthening of the local technological capacity. At the beginning what would be stimulated would be the adaptation of foreign technologies. Simple examples of this would be the capacity and the desire of the population (creating a demand for this) in general to have manuals of equipment and machines in their own language. The same could also happen with scientific publications or even with novels and audio-visual material (films, TV programs or Internet sites). This would produce among the population a sensation of empowerment of the technological phenomenon and it would stimulate, along with other public policies of course, the creation of an independent technological capacity, which is a key factor to achieve the industrial transformation that a country needs to undertake in order to develop.
Share/Save/Bookmark

martes, 23 de septiembre de 2008

El idioma y el desarrollo

Podemos argumentar que la relación entre el idioma y el desarrollo es la tecnología, factor clave del desarrollo, porque esta viene codificada en un idioma. Entonces, al ser los idiomas occidentales (sobretodo el inglés) dominantes en materia tecnológica, ¿justifica esto que sistemas educativos de países en donde no se hablan estos idiomas en la cotidianidad sean en su totalidad en un idioma occidental? Me estoy refiriendo a los casos de países asiáticos y africanos en donde la solución dada a la existencia de diversos idiomas locales fue la instauración del inglés o francés como idioma de la enseñanza a pesar de que la mayor parte de la población no habla ese idioma en casa. Aunque este problema también se podría aplicar en el caso latinoamericano en aquellos países en donde la población indígena no tenga acceso a un sistema educativo en su idioma.

Pienso que esta situación sólo se justifica en etapas incipientes del desarrollo de un país, en donde ni siquiera haya la posibilidad de producir libros de texto en el idioma local. Esa capacidad debería desarrollarse primero a través de traducciones de los textos extranjeros y luego con la publicación de textos propios que se adapten a las realidades de los diversos países, siempre tomando en cuenta los criterios de calidad educativa. El aprendizaje de otros idiomas no debería descuidarse, claro está. Pero no debería enfocarse sólo en aprender uno, que en la mayoría de los casos es el inglés. Otro idioma debería agregarse al plan de estudio. Podría ser otro idioma hablado en el país o un idioma extranjero hablado en alguno de los socios comerciales más importantes del país. Esto no sólo promovería la integración cultural dentro del país o con países vecinos sino que limitaría la dependencia tecnológico-cultural a un solo idioma.

Estas reformas en el campo educativo promoverían el desarrollo gracias a al fortalecimiento de la capacidad tecnológica local. Al principio lo que se incentivaría sería la adaptación de tecnologías extranjeras. Ejemplos sencillos de esto serían la capacidad y el deseo de la población (creándose una demanda para esto) en general de tener instructivos de equipos y máquinas en su propio idioma. También podría ocurrir lo mismo con publicaciones científicas o hasta con novelas y material audiovisual (películas, programas de TV o sitios de Internet). Esto produciría una sensación de apoderamiento del fenómeno tecnológico e incentivaría, junto con otras políticas públicas por supuesto, la creación de una capacidad tecnológica autónoma, que al final de cuentas es la clave para lograr la transformación industrial que necesita emprender un país para desarrollarse.
Share/Save/Bookmark
(Compartir o guardar)

viernes, 19 de septiembre de 2008

Le problème du logement et le marché de location

Dans la plupart des pays occidentaux il est évident que même les plus bas salaires payés aux ouvriers devraient être suffisants pour fournir un toit, de la nourriture et d'autres nécessités de base à leur famille. Focalisons-nous dans la capacité des ménages à bas revenu de résoudre leur problème de logement. Ceux d’entre vous avec de l'expérience avec pays moins développés, savent que les ouvriers avec bas revenus, des secteurs urbains ou ruraux, doivent habiter la plupart du temps en cabanes dans des bidonvilles.

Une raison qui explique cette situation est la manière dont le marché de location de logement fonctionne. Prenons comme référence ce qui se passe en Allemagne. La plupart des personnes dans ce pays habitent dans une chambre, un appartement ou une maison louée. L'Etat allemand intervient sur le marché de location en fournissant des appartements à loyers modérés aux personnes de bas revenu. Si vous regardez la plupart des pays latino-américains, le pourcentage des ménages louant leur logement, et au contraire au dessous de 15%. Le marché de loyer est également tout à fait dualiste. Ceci signifie que les options de loyer se situent souvent dans deux extrémités, luxueux ou un logement dans un bidonville. En raison des conditions très mauvaises des logements des ces quartiers marginaux, il est évident que l'Etat devrait subventionner des loyers. Cela permettrait aux ménages pauvres de vivre dans un logement décent. Mais aussi, pourtant que le marché de loyer pour les familles de revenu moyen existe à peine, l'Etat devrait intervenir pour créer ou impulser ce marché. Le manque d’options de location pour les familles avec des revenus moyens est un échec du marché qui justifie ce type d'intervention. En revenant à nouveau au cas d'Europe de l'ouest, l'Etat pourrait fournir appartements à loyer modéré en donnant des crédits subventionnés aux compagnies de construction qui construiraient et puis administreraient ces immeubles. Une politique comme celle-ci motiverait le marché du logement, augmenterait le taux d’investissement de l'économie et augmenterait aussi la création d'emplois.

Une autre cause qui explique cette situation peut être la volonté des ménages de ne pas vivre dans un logement loué ou des propriétaires de ne pas louer leur propriété. On pourrait dire que ce refus des deux côtés pourrait être du à la loi réglant ce marché et qu'elle soit respectée ou pas. Le niveau de protection au locataire ne limite pas nécessairement le marché de location. Prendrons encore le cas de l'Allemagne, on peut dire que la loi dans ce pays protège le locataire davantage qu'aux Etats-Unis, mais la quantité de ménages qui louent leur logement en Allemagne est beaucoup plus haute qu’aux US. Le problème principal qui devrait être résolu alors devrait être celui de réduire les coûts de transaction et d'assurer une application efficace de la loi.

Indépendamment de l’existence de larges bidonvilles autour de grandes villes, autre indicateur qui pourrait indiquer un problème sur le marché de location est le fait que les familles étendues vivent ensemble dans le même logement, comme se produit assez fréquemment dans beaucoup de pays du Tiers Monde. On pourrait penser que c'est dû aux raisons culturelles, mais dans quelques pays ceci bien pourrait être dû au manque d'options de location.

Les mentalités devraient changer et on ne devrait pas croire que la société idéale est une dans laquelle chaque ménage est propriétaire de son logement. Ce type de pensée est ce qui a fait aux ménages construire des cabanes dans les bidonvilles et aux Etats ne pas pouvoir tenir leurs promesses d'assurer du logement décent pour tout le monde. Une société idéale devrait être une dans laquelle chaque ménage ait un logement décent, de sa propriété ou loué. Puisque beaucoup de personnes ne pourront pas acheter un logement avec leur bas revenu et que ça coûte moins à l'Etat (et à la société en général) de subventionner des loyers que de donner du logement à un prix fortement subventionné, le marché de location devrait être favorisé dans les pays avec un pourcentage élevé de la population vivant dans des cabanes et bidonvilles.
Share/Save/Bookmark

miércoles, 17 de septiembre de 2008

El problema de la vivienda y el mercado de alquiler

En la mayoría de los países occidentales es obvio que incluso los salarios de los trabajadores de más bajos ingresos deben alcanzar para proveer de un techo, alimento y otras necesidades básicas a sus familias. Enfoquémonos en la capacidad de los hogares de bajo ingreso para solucionar su problema vivienda. Los que tengan experiencia en países menos desarrollados saben que los trabajadores con bajos ingresos, en áreas urbanas y rurales, tienen que conformarse la mayoría de las veces con vivir en chozas o ranchos en barrios pobres.

Una razón que explica esta situación es el funcionamiento del mercado del alquiler de la vivienda. Tomemos como referencia lo que sucede en Alemania. La mayor parte de la gente en este país vive en una habitación, un apartamento o una casa alquilada. El estado alemán interviene en el mercado de alquiler de la vivienda proveyendo de apartamentos con alquileres subvencionados a la gente de ingreso bajo. En la mayoría de los países latinoamericanos, el porcentaje de hogares que alquilan su vivienda es menor al 15%, por lo que el mercado de alquiler de vivienda está poco desarrollado. Este mercado también es bastante dual. Esto significa que las opciones del alquiler se encuentran a menudo en dos extremos, el lujoso o el de tipo choza o rancho. Debido a las condiciones muy malas de los ranchos en los barrios pobres es obvio que el Estado debe subvencionar los alquileres para permitir que los hogares pobres puedan vivir en un lugar decente. Pero como el mercado del alquiler para las familias de ingresos medios no existe o es incipiente, el Estado también debería intervenir para crear o para promover este mercado. La carencia de opciones de alquiler para las familias de ingresos medios es una falla del mercado que justifica este tipo de intervención. Tomando de ejemplo de nuevo lo que se hace en Europa occidental, el Estado podría proporcionar los apartamentos de alquiler reducido en edificios que hayan sido construidos gracias a créditos subvencionados a las empresas de construcción que luego administrarían el alquiler de los apartamentos. Una política como esta incentivaría el mercado de la vivienda. Esto a su vez aumentaría la tasa de inversión de la economía y la creación de empleo.

Otra razón para explicar el problema de la vivienda en el mundo menos desarrollado podría ser la reticencia de los hogares de vivir en una vivienda alquilada o de los propietarios para alquilar. Uno podría argumentar que esta reticencia, de ambas partes, podría ser debido a la ley que regula este mercado y si es respetada o no. La intensidad de protección al arrendatario en la ley no perjudica necesariamente al mercado de alquiler. Tomando otra vez el caso de Alemania, se puede argumentar que la ley en este país protege al arrendatario más que en los E.E.U.U. y aún así la cantidad de hogares que vive en una vivienda alquilada en Alemania mucho más alta que en los Estados Unidos. El problema debería entonces ser solucionado disminuyendo los costes de transacción y asegurando una aplicación eficaz de la ley.

Aparte de los barrios pobres o marginales alrededor de ciudades grandes, el otro indicador que podría reflejar un problema en el mercado de alquiler es el hecho de que las familias extendidas vivan juntas en la misma vivienda, como sucede en muchos países del Tercer Mundo. Uno podría pensar que esto es debido a razones culturales, pero en algunos países esto podría estar pasando debido a la carencia de opciones de alquiler.

Las mentalidades deben cambiar y no se debería creer que la sociedad ideal sea una en la cual cada hogar sea propietario de su vivienda. Este tipo de pensamiento es el que conduce a las personas a construir chozas o ranchos siempre que tengan la oportunidad y a los gobiernos a no poder mantener sus promesas de asegurar viviendas decentes para todos. Una sociedad ideal debería ser una en la cual cada hogar viva en una vivienda decente, de su propiedad o alquilada. Puesto que mucha gente no puede comprar una vivienda debido su bajo ingreso y que cuesta menos al Estado (y a la sociedad en general) subvencionar alquileres que ofrecer viviendas a un precio tan subvencionado que permitiera a estos hogares comprarlas, el mercado de alquiler debería promoverse en países con alto porcentaje de población viviendo en chozas o ranchos en los barrios marginales.

Share/Save/Bookmark

martes, 16 de septiembre de 2008

The housing problem and the rental market

In most western countries it is obvious that even the lowest wages paid to workers should make them able to provide a roof, food and other basic necessities to their family. Let’s focus in the ability of low income households to solve their housing problem. Those of you with experience in less developed countries know that workers with low earnings, in urban and in rural areas, have to settle most of the time in slums and shacks or huts.

One reason that explains this situation is the performance of the housing rental market. Let’s take as a reference to what happens in Germany. Most of the people in this country live in a rented room, apartment or house. The German state intervenes in the housing rental market by providing apartments with subsidized rents to low income people. If you look at most Latin American countries, the percentage of households renting their home falls bellow 15%, reflecting a small rental market. This market is also quite dualistic. This means that rent options often lie in two extremes, luxurious or shack-type housing. Because of the very bad conditions of slum dwellings it is obvious that the state should subsidize rents intended to allow poor households to live in a decent dwelling. But as the rent market for middle income families barely exists, the state should also intervene to create or promote this market. The lack of renting options for middle income families is a market failure that justifies this type of intervention. Back again to the case of western Europe, the state could provide low rent apartments by giving subsidized credits to construction companies that would build and then administrate apartment buildings. A policy like this would incentivize the housing market in general, increasing the investment rate of the economy and boosting job creation.

Another reason could be the willingness of households to live in a rented dwelling or of landlords to rent their property. One could argue that low levels of willingness from both sides could be due to the law regulating this market and whether it is respected or not. The amount of protection to the tenant doesn’t necessarily curb the rental market. Taking again the case of Germany, arguably the law in this country protects the tenant more than in the USA and still the amount of households that live on a rented property in Germany is much higher. The main problem that should be solved then should be diminishing transaction costs and ensuring an effective enforcement of the law.

Apart from wide slums around big cities, other indicator that could reflect a problem in the rental market is the fact that extended families live together in the same dwelling, as actually happens in many Third World countries. One might think this is due to cultural reasons, but in some countries this could well be due to the lack of rental options.

Mentalities should change and one shouldn’t believe that the ideal society is one in which every household is owner of its dwelling. This type of thinking is what has lead to households building shacks whenever they can and to states not being able to hold their promises of ensuring decent dwellings for everybody. An ideal society should be one in which every household has a decent dwelling, of his property or rented. Since many people won’t be able to buy a dwelling with their low or middle income and it costs less to the state (and the society in general) to subsidize rents than to give away homes for a heavily subsidized price, the rental market should be promoted in countries with high percentage of the population living in shacks and slums.

Share/Save/Bookmark

lunes, 15 de septiembre de 2008

The virtual line and waiting rooms

Something that most people dislike is to run errands in public offices. Short hours of attention, crowded rooms, personnel mistreatment and lack of information are some of the things that come to my mind when I think about having to run an errand at public offices.

Although I continue to be not very excited when I have to run some errand in a public office in Berlin, I think that it’s worth to communicate common practices done here so that everything goes quicker and not so tiresome. In every public office there’s a receptionist that asks us what errand we need to run. With that answer in mind this person gives us a ticket with a number and indicates us to which waiting room we must go. When we arrive to the waiting room we always find enough chairs for the amount of people that usually have to go to the office, sometimes there are even tables that enable people to do some work while waiting. When our turn arrives, the employee of the room where we’ll be served calls out our number. Of course, there are offices where the process is completely automated. The receptionist is replaced by a machine that gives numbers depending of the errand to run and an electronic display screen shows the following number to be served and the number of the room where the person must go. There’s always some employee close to help whoever doesn’t know how to use he machine that gives you the tickets.

Other things that are always near the waiting rooms are copy machines that accept coins so that one self can use make copies. Other services that some public offices offer are appointments fixed by telephone and attention on Saturdays. The opening hours tend to cover the early morning hours some days and the late afternoon hours other days so that the people with different working hours can run errands at public offices without the need to hire or to ask another person to run the errand for them.

I’m not trying to say that any of these practices are applied in the Latin American countries that I have visited or lived in, but the most basic ones, that would provide a minimum of order, as a ticket with a number (virtual line) and the existence of a waiting room, unfortunately are not always there. Among the experiences that I have lived I can recall that there are too many offices without the virtual line system where one must make standing lines for hours, often outdoors. Sometimes if you are “lucky” there are chairs, by which one has to stand up and sit in the next one to advance until it is our turn to be served. Other times although numbers are given, there are no chairs in the waiting room.

Techniques to increase productivity, measured in terms of persons served per day, must be applied continuously in public offices to reduce to the minimum expression the lost work hours of all those people who must run their errands. This also contributes to that other development, beyond economic conceptions, that is reached when the civil servants make an effort to offer the best service to the citizens.

Share/Save/Bookmark